Mes histoires

la plus part on été inspiré de indochine, certaine plus que d'autre mais bon c'est pas mal quand même enfin je pense!

Elle était alongé là, recouverte d'une fine couverture rouge presque transparente. Ces grands yeux vert étaient rivés vers les profondeurs de la forêt.

Elle était si blanche qu'on aurait pu la croire morte. Seulement, elle était brulante et son corps tremblait. Son ame, elle, semblé avoir déjà quité son corps.

Tout à coup, son bras glissa de sous les couverture, au bout de sa main sans vie se mit a couler du sang, quelques goutes. Puis tout s'enchaina rapidement, le sang se rependi partout sur le sol, la couverture fut imbibée du liquide rouge, les cheveux blonds de la jeune fille baignaient dans une mare de sang.

La couverture, alourdie, glissa découvrant le corps lacéré de la fille. Ces yeux devinrent blanc, puis injecté de sang, et le long de ses joues mortellements pales, se mit a couler a une larme rouge.

Et dans un dernier souffle qui lui couta un effort surhumain, elle mouru dans l'horreur et la douleur...

Les yeux perdu dans l'azur
Le corps égaré dans la rosée du matin,
nue dans la lumière naissante de mai.

elle essuyai les larmes qui l'empechaient de voir les nuages.
Dans un dernier espoir sa main alla effleurer sa poitrine ensanglantée.
Et c'est dans un ultime souffle de vie que ces yeux se fermèrent,
la laissant seule avec son secret...

Assise pres du feu, dans l'espoir de rechauffer son corps mortellement froid.
Le sang coulait le long de son visage pour aller se perdre dans les larmes,
Avant de tomber sur le tapis de roses rouges

Seule, vétue de noir
elle marchait seule
dans les couloirs du manoir
en pleine nuit.
Elle sentait sa peur, sa douleur
et son amour lui couler le long du dos
telle une sueur froide.

Elle ouvrit une porte qui grinca tel une plinte lascinante.
Elle s'alonga dans lablancheur des draps,
avant de s'endormir, les yeux fixés sur la lune.

Ce n'est qu'au matin qu'un rayon de soleil éclaira
l'orreilé. Il était si rouge que le visage endormi de la jeune fille
paraissait transparent

Le long des berges mortes d'un fleuve gris,
elle noyait ses idées noires.
La lamentation du vent de l'hiver s'engoufrait en elle,
la rendant aussi froide que la mort.

L'innexorable peine qui lui transpercait l'âme,
La tuait en s'insinuant avec lenteur et intensité.

Et c'est dans un élan de desespoir
qu'elle se laissa couler dans les flots argenté.
Une eau glacial empli ses poumons,
la libérant de ses soufrances.

La tête pres de son coeur,
elle l'entendait battre de plus en plus lentement.
Son âme balancait entre le vie et la mort;
Et c'est au bout d'une éternité
qu'elle le sentie partir,
s'engoufrer dans les profondeurs abyssales des ténèbres.

Elle était a présent seule sur un lit de pétales de roses,
couchées sur un corps sans vie.

C'est le coeur meurtri,
qu'elle sempara d'une lame étincellante.
Elle se regarda longuement,
elle regardai ce visage blanc , ses yeux rouges...
Jusqu'au moment ou elle la planta en son coeur.

Lentement elle se laissa tombé, sur son bel amant.
Le sang coula le long de son corps,
se rependant au sol,
en emportant avec lui,
la jeunesse et l'innocence.

La lumière de la lune se reflétait sur la palur de sa peau.
Dans les sous-bois dépérissant,
elle avancait avec lassitude,
se laissant bercer par le murmure du vent et le craquement de feulles mortes.

Erraflé par par quelques branches nu,
des gouttes de sang perlaient sur ses joues et ses mains.
Elle s'allongeat sur un banc de pierre au milieu d'une clairière enniegée.

Les floncons qui tombaient du ciel gris,
se déposaient sur son visage,
s'imbibant de sang.

Et c'est les yeux rivés vers le ciel,
qu'un dernier soufle alla réchauffer l'air...

Elle avait les yeux plongés dans son regard. Puis elle s'alonga sur lui et ferma les yeux pour mieux sentir son odeur. Elle le respirait fort, jusqu'a se que sa tête tourne tellement elle en était enivrée. Elle posa ses mains sur son corps froid, les laissa glisser sur sa peau pour ne connaître le plus infimes détails. Elle posa ses lèvres sur sa peau pour découvrir sous un autre jour son corps. Elle n’avait pas oublier la saveur de se peau ni les formes de son corps.
Depuis toujours elle les connaissait mais cela faisait sir longtemps qu’elle ni n’avait pas goûté. Une vie entière, une éternité…
Elle se mit à pleurer, puis à rire, puis à pleurer encore, laissant les larmes couler sur son corps sans les essuyer. Puis elle se mit à hurler, à hurler fort un cri tranchant, déchirant qui brisa le silence.
Elle arrachait sa peau, lacérant son visage. Du sang s’étalait son corps, glissant jusque sur les draps blancs. Elle se coucha sur son corps se frottant le visage sur sa peau. Son visage devint rouge, et les dernières pleures qui coulaient sur sa peau ensanglantée découvrait un visage transparent et marqué de veines bleues. Et ses larmes rouges coulaient sur le corps froid, sans respiration et sans vie de son amant.
Alors elle le sera fort contre elle ferma les yeux arrêta de respirer et se laissa étouffer d’une joie incontenable.
Elle ferma les yeux et oublia tout.
Dans la chambre noirs était allongé deux corps rouge qui avent tout oublier.

Elle fut réveillée par les rayons du soleil qui perçait à travers les rideaux. Ella s’enfonça encore plus loin dans sa couverture. Elle gardait les yeux fermés et elle pensait a hier, a hier soir. Cette pensée lui tira un sourire béat. Elle trouvait une grande satisfaction à y repenser ? En fait elle trouvait cela beau, grand. Mais aussi dégeullasse, attirant, mais surtout écœurant.
Elle revoyait le corps décharné de l’homme. Elle voyait ses yeux révulsés a demi ouvert dans la pénombre humide de ce grenier.
La soirée précédente, elle avait embrassé, caressé ce corps qui, quelques heures plus tard devint bleu violacé. Du sang sortait de la bouche édentée de l’homme.
Après avoir tué cet homme elle l’avait plongé dans une baignoire brûlante. Elle avait attendu, assise sur le rebord d’un meuble, elle avait regarder le corps se gonfler d’eau. Elle avait vu ses chairs fermes et désirés, se ramollir dans la chaleur épaisse de la salle de bain.
Quand l’eau eu complètement refroidi, elle tira l’homme dehors et le jeta dans la boue.
Il y avait un orage, il pleuvait rageusement, et des éclair bairaient le ciel et faisaient des ombres inquiétantes sur les arbres, sur les buissons et sur le visage extasié de la jeune fille.
Ses longs cheveux détrempés lui barraient le visage et tombaient lamentablement sur ses épaules. Elle était pieds nus dans l’eau glaciale, le bas de sa robe verte déchiré trempait dans la boue. Elle était sale, sale mais belle, elle rayonnait et n’avait jamais ressenti une aussi grande satisfaction.
La jeune fille s’approcha du corps inanimé avec un sourire sadique. Elle a attrapa une pelle et creusa un trou dans le jardin. Elle jeta l’horrible corps défiguré et déformé au fond de la fosse. Elle cracha sur l’homme avec de lui jeter des pelletées de terre dessus.
Elle remonta à l’étage de sa petite maison de campagne, elle défit ses vêtements boueux et se coucha avec volupté dans les couvertures encore tièdes. Elle s’enveloppa et s’endormi d’un sommeil profond presque immédiatement, jusqu'à se moment.
Et à ce moment en question elle se leva, pris quelque chose dans un tiroir et alla se faire couler un bain.
Elle entra dans l’eau translucide et s’y prélassa avec délice. L’objet qu’elle avait pris da ns le tiroir était posé à côté d’elle sur le rebord de la baignoire. Elle pris l’objet, le posa sur sa tempe, et appuya sur la détente. La moitié de son crâne éclata dans un feu d’artifice de sang.
L’eau de sa baignoire se teignit d’un superbe rouge rubis.
Le corps de la jeune fille s’enfonça dans le rouge pour y disparaître.

j'aurais aimé revoir son visage
au moins une derniere fois
avant que ne s'effaces les traits
et s'oublie la voix

avant que les souvenirs
n'éclatent en mile couleurs
pour se fondre dans le noir de tes yeux.

tout prés de moi
comme une brulure
une brulure exquise
exquise come une étoile
étoile de lumiére celeste
celeste comme lorsque je me plonge au fond de tes yeux
tes yeux océans de lumière ou j'aime me perdre comme dans un foret hantée
hanté comme mes rêves
comme quand tu n'est pas la...

de nuit
dans un manoir
au bout d'un long chemin
elle était la
elle attendait
sans un bruits
sans bouger
dans une grande piece
froide
humide
allongée par terre
brune
de grand yeux
en sang
morte

Dans un lieu perdu, dans une foret, le soir, elle avançait seule, le regard égaré vers l’horizon. Le vent faisait voler sa longue chevelure, qui cascadait de blondeur et ruisselait sur sont visage blême. Pieds nus dans la neige froide de décembre, elle marchait sans faiblir, sans réfléchir…
La nuit était noire, pleine de désespoir, pleine du silence.
La neige se remit à tomber, sans troubler le calme profond du foret qui dort.
Quelques flocons vinrent se poser sur ses épaules, sur sa tête, sur ses pieds, sur ses joues… les premiers flocons qui virent se perdre son visage se colorèrent de rouge, d’un rouge intense ; des flocons rouges qui fondaient sur son visage et ruisselaient le long de ses joues tels des larmes .
Un léger vent, venant de derrière, vint la pousser et la fit tomber dans la blancheur immaculée de la neige. Elle ne se releva pas, elle resta la, les yeux ferlés, à respirer l’air glacial qui s’insinuait en elle tel une lame tranchante.
Son corps s’arrêta de bouger, le silence fut brisé par une longue plainte, pleine de douleur et de soulagement

Du sang, su sang coulait le long de son dos.
Un long filet rouge écarlate
Rempli de terreur, d'épouvante.
Mais aussi de désespoir, de haine et d'amour.
Dans le sang il y avait aussi la jeunesse et l'innocence
Qui s’écoulait lentement dans le creux de ses riens,
Avant d’aller se s’éclater au sol comme du verre bris
…..une vie aussi fragile que du verre….

Que penser d'elle?
Oui elle était belle, grande, blonde, de grands yeux...
Mais après, peut être que derrière cette apparente blancheur
Se cachait un monstre de perversité, égoïste, rancunier et méchante
Peut être, mais quoi qu’il en soit elle était morte, allongée la, seule, en sang, et personne ne savais qui elle était et pourquoi elle était la.

L e cœur qui se rempli d’une joie incontrôlable
Une envie irrésistible de hurler au monde entier son amour
Mais quand les yeux se posent sur lui
C’est pour ce perdre dans un océan de lumière et d’étoiles
Des étoiles plus étincelantes et brillantes les une que les autres
Mais lui il est la lune paré de ses étoile, il brille
Plus fort et plus longtemps
Il est l’éternel et l’immoral
Le bien et le mal
L’amour et la haine
La lumière et l’ombre
Toi et moi…

Il eu peur d’un coup
Il continuait à la regarder
Il caressait son corps du regard
Puis ses yeux se fermaient
Il disait qu’il ne peut l’aimer
Il disait qu’il ne pouvait l’embrasser
Sa respiration s’accélérait
Il posa ses mains sur ses yeux
Il frissonna, une larme coula sur sa joue

Elle se releva et s’assit près de lui
Elle le prit dans ses bras contre sa peau nue
Elle sentait sa respiration qui courait dans son dos
Elle posa ses lèvres sur son cou
Et l’embrassa tendrement
Il ouvrit les bras et la pris
En lui caressant son dos nu
Il se perdait dans la blondeur de ses cheveux
Elle s’allongeât sur le lit et se laissa faire…

La nuit desecendait... le soleil pale se glissait par une fissure du grenier.
Une ombre s'avançait a travers la poussière volante.
La chaleur étouffante embuait la seule vitre.
Une jeune fille s'allongea au fond de l'unique pièce. Elle se retourna et regarda par la fissure.
Elle vit le jardin, la roserais surtout. Cette dernière était illuminée d'une étrange clarté. Sur les boutons de roses, la rosée fraîche de Mai reflétait le ciel, cet océan bleu, violet, rose et orange qui s'étendait a l'infini.
Elle se retourna sur le dos et regarda le plafond. Elle ferma les yeux, une unique larme roula sur sa joue pale et alla se perdre dans la blondeur de ses cheveux.
Le crépuscule était si beau, peut-être l'aurait elle appréciée avant.......
Avant qu'il ne meurt et ne la laisse seule.
Son coeur se serra et une seconde larme coula sur son visage.
Une Violente rage s'empara d'elle, un flot de désespoir se déversa sur ses joues.
Elle démoli le mur du grenier a l'endroit ou la fissure s'étendait.
Le soleil envahit la sombre pièce du grenier et illumina le visage pur de la jeune fille. Une forte brise s'engouffra et derrière elle et la força a sauter. Ses long cheveux d'or volait autour de son visage comme une auréole. Une seconde elle se retint. Elle réfléchie une seconde. Une seconde de doute immense. Mais son coeur se sera plus fort et elle se dit qu'il ne lui restait rien et plus personne...
Ses mais lachèrent le bois du mur et elle se laissa tomber a travers l'air tiède.

Le lendemain matin on retrouva une jeune fille blonde, morte, au pied de chez elle dans la roserais. Son corps était couvert de griffures de rosiers et de pétales de roses.
Elle gisait là, seule, au milieu des roses rouges, au sourire aux lèvres.

voila pour l'instant j'ai écrit ca en a peu près un an! j'espere que sa plaira un peu quand même!

en tous cas sa me plait bcp,
bravo j'adore ton style d'écriture

moi aussi j'adore meme beaucoup indo est une bonne source d'inspiration tu devrais essayer dans envoyer a nico pour voir ce qu'il en pensent